Je savais pôo que j'avais poster un message ici... ^^ Désolé de t'avoir fait perdre du temps .... Franchement je dois être azaîmeur, car franchement..... JE suis choqué il me semble que je n'ai jamais poster ni vue ce sujet...
Oh, un Osselet sauvage apparaît ! Hé merde, j'ai plus de pokéball ...
Voici les résultats tant attendu ! Un immense bravo à tous et à toutes pour votre participation, la tension est à son comble...
PRIX OR: décerné à Shinzo, bravo à elle !
Spoiler:
«Un brin de bravoure pour trois grain de folie. »
Il était seulement 04h24 sur ma montre, mon campement était établit, depuis la tombée de la nuit, mais il était impossible pour moi de m'endormir. Le huhulement des Hoothoot m'empêcher vivement de dormir ainsi que quelques hurlements de Caninos. Tandis qu'à mes côté, Pikachu dormait, il bougeait les pattes dans tout les sens, signe qu'il rêvait. Je n'avais qu'une envie : le caresser, mais cet idiot me lancait du courant à chaque fois que je le touchais la nuit. Alors que j'étais gentiment plongé dans mes pensées, une énorme ombre me fit revenir à la réalité.
« Pikachu... Pikachu, réveilles-toi ! » murmurais-je à mon pokémon.
Le pauvre eut un peu de mal à se réveiller, il s'étira doucement et se mit à bâiller avant de me regarder avec des tout petits yeux et de me lancer doucement : « pikaa... ». Je lui montrais du doigt l'ombre qui était toujours à côté de la tente, on dirait un énorme chien, plus grand qu'un Arcanin, et plus gros qu'un Tauros. La pression montait de plus en plus, Pikachu était sur ses gardes, il ne savait pas comment réagir, et surtout il sentait que le danger était là et qu'il n'y arriverait pas tout seul. Je me dirigeai doucement vers mes pokéballs non loin de moi. À vrai dire, je les gardais toujours à dispositions, au cas où. Cela faisait maintenant un an que je sillonais les routes de Johto, et j'en avais vu des vertes et des pas mûres. Pour q'un Pokémon s'approche autant d'un campement c'est qu'il est sûr de sa puissance et que rien ne lui fait peur. Après vingt minutes à tourner autour de ma tente, il s'éloigna doucement, il avait l'allure d'un Arcanin, j'avais attaché ma ceinture de pokéballs à ma taille, et je sortis, une lanterne à la main. J'entendis le Pokémon s'éloignait dans les bois qui nous entourait. Cela n'était que le début de ma traque, je comptais bien découvrir qui était ce Pokémon aussi rapide que les éclairs de Pikachu. « Allons nous recoucher, on verra ça demain. » dis-je doucement à Pikachu avant de retourner dans la tente.
Je m'appele Damien, je suis un grand aventurier, et aujourd'hui la traque au Pokémon nocture débutait, il était temps de le pourchasser pour découvrir qui il était, car je savais que c'était un Pokémon très important. Toutes mes décisions se prennaient sur un coup de tête. Mon équipe se composait de cinq pokémon :Pikachu, Dracaufeu, Tortank, Florizar, Roucarnage. Il y'a deux ans, j'avais parcourus Kanto, de fond en comble, j'étais un dresseur respecté là-bas, un grand dresseur. Tandis que Johto représentait pour moi un nouveau départ, un nouvel espoir. Enfin bref, je me retrouvais là, a ranger mon campement avec l'aide de mes Pokémons, bien que Dracaufeu était un peu brutal avec ses flammes. Ensuite il ne restait qu'une chose : partir à la recherche de ce Pokémon. Je ne connaissais presque rien des Pokémons de cette région et je voulais en apprendre plus. Des traces étaient partout autour du campement, il avait volé quelques baies qui se trouvait dans mes affaires, j'avais dû oublier mon sac à l'extérieur. Je remis mes fidèles compagnon dans leurs pokéball respective, sauf Pikachu qui ne supportait pas l'enfermement, alors il restait soit sur mon épaule, soit à côté de moi. Et il était temps de m'aventurer dans les tréfonds de la forêt. La route risquait d'être longue, elle était semer d'embuche, et ce Pokémon semblait très rapide.
La route fut longue, semée d'embuche. Et dès que je sentais que c'était juste à m a portée, qu'il était là pas loin, il m'échappait. Vous connaissez cette sensation non ? Celle qui vous donne de l'espoir mais au dernier moment tout vous échappe et file le plus loin possible de vous. C'est un peu ce qui m'arriver. J'étais arrivé devant un tour, elle devait bien faire cent mètre de haut, et moi j'étais là devant, au aurait dit un moineau à côté d'un arbre. 'Bon c'est parti' pensais-je. Je savais qu'il se trouvait là. Un simple regard à Pikachu et il était temps de pénétrer dans cette tour.
L'intérieur était lugubre, sombre, c'était très bizarre. En entrant, c'était comme si on se sentait renfermé, emprisonné, c'était lourd. Des haut pilliers tenaient la tour dressaient, il était fait de bois de chêne, majestueux. Mais on voyait bien que l'entretien laissé à désirer. On remarquait de vilaines termites sur le bois qui ne cessaient de rentrer et sortir dans les minuscules brèches qu'elles avaient créer. Pikachu éclairait la pièce grâce à son flash. Elle semblait vide, mais Pikachu sentait la présence d'un autre Pokémon, et moi aussi, nous n'étions pas seul. J'avançai doucement dans la grande pièce vide. Des énormes rochers bouchaient certaines issues. Mais d'un coup, en un bond majestueux et souple, un énorme Pokémon à l'allure d'un Arcanin, il était majestueux, jamais je n'avais vu un Pokémon avec une telle prestence. Magnifique.
Il était donc là devant moi, il m'avait emmené jusqu'au ici, un endroit qu'il semblait connaître par cœur. Il était intelligent, et rien que dans ses yeux j'avais deviné qu'il n'avait pas choisit cet endroit au hasard. Il se tenait droit devant moi, il semblait serein, c'était ça le plus étrange. Cela faisait plusieurs semaines qu'il me balladait sans cesse et me faisais lui courir après. Et désormais nous étions là, l'un devant l'autre, prêt à combattre. Et ce combat allait être certainement l'un des meilleurs de ma vie. Nous nous étions durement entraîné mes Pokémons et moi, et j'avais prévu tout ce qu'il fallait pour faire de ce Pokémon le mien. Après quelques minutes, j'avais sorti Florizar de sa pokéball, il semblait être un Pokémon de type eau/glace, alors je ne savais pas trop si c'était une bonne idée. Après plusieurs fouet lianes éviter, il lança un lazer glace que Florizar ne put esquiver, en moins de deux c'était fini, Florizar était KO. Puis vint le tour de Tortank, il réussit à épuiser un peu le Pokémon d'en face. Après une lutte vigoureuse, il était temps de rappeler Tortank pour qu'il se repose. Et enfin vint le tour de Pikachu, son avantage : il était agile. Il était doué, et il arrivait à bien esquiver ses attaques, j'étais très fier de lui. Il était agile, souple, fort, endurant et pourtant si petit, mais il tenait un moral d'acier et une forme de fer. Ses attaques électriques afflaibissaient énormément le Pokémon d'en face. Et ce n'est qu'après le coup fatal : Fatal Foudre, que le Pokémon d'en face tomba, ses jambes étaient lourdes et cette ultime attaque l'avait achevé. Je m'approcha doucement, il se releva tant bien que mal. Alors que je commençai à lui envoyer un Pokéball dessus, il la frappa avec sa queue pour la faire dégager. Mais contre toute attente, il me fit la révérence. Pendant ce temps j'avais pris mon Pokédex pour savoir enfin le nom de ce Pokémon, c'était : Suicune. Il se releva et s'en alla. Mais je savais une chose : la course n'était pas fini.
PRIX ARGENT: décerné à thirteen, bravo à elle !
Spoiler:
"(...)Nous n'avons toujours pas de nouvelles de la ville de Sarhem. Cela fait maintenant 48h qu'elle est plongée dans le noir et que nous n'avons plus contact avec les habitants. Les seules nouvelles que nous avons nous viennent des militaires qui encerclent la ville pour que rien ni personne n'entre ou ne sorte. Nous ne savons pas ce qui se passe là-bas, mais nous pouvons dès à présent vous dire quelque chose: si vous avez des proches à Sarhem, vous pouvez déjà commencer à les pleu/"
Ma mère s'était jetée sur la télécommande pour éteindre la télévision. Elle me faisait la leçon parce que je regardais des programmes de ce genre, me disant que cela ne m'apporterais rien. Puis elle s'en allait, et de loin, la gorge serrée, me demandait d'aller dans ma chambre et de ne plus en sortir jusqu'au dîner. J'obéissais. Je ne pouvais lui en vouloir: mon frère était le champion de l'arène de Sarhem, comme notre père l'avait été avant lui, et comme je le serais plus tard. Si vous ne comprenez pas de quoi je parle, je vais vous expliquer. Moi, ma famille, et des milliards d'autres personnes vivons dans un monde où nous n'avons pas de chiens ou de chats, mais nous avons des Pokémons. Les Pokémons sont nos amis et nos partenaires, certaines personnes les ont seulement en tant que compagnons, d'autres, que l'on nomme les dresseurs, les élèvent, les font évoluer et se battre contre d'autres Pokémons. Vous pouvez trouver çela barbare, mais ça ne l'ai pas, tout se fait dans le respect. On apprend tout cela durant notre enfance, c'est ancré dans notre culture. Les meilleurs dresseurs écument le monde, de villes en villes, d'arènes en arènes, de badges en badges, jusqu'au "Mondial des Dresseurs". Avant cela, il y une ligue par région, mais le mondial est tellement plus prestigieux. Seuls les meilleurs y arrivent. Dans ma famille, perdre ne fait pas partie des options. Chacun d'entre nous, depuis le grand-père du grand-père de mon père est allé au mondial. La plupart l'ont gagné au moins une fois, et le nom de mon père est inscrit dans la légende de cette immense compétition. Roman Arnie, c'était comme cela qu'il s'appelait. Dans le monde du combat, il était surnommé Le Boss, car c'était un des dresseurs les plus puissants que le monde ai porté. Il a gagné le mondial cinq années de suite, et à voyagé partout dans le monde avant de reprendre l'arène de son père, à Sarhem. Il est mort quand j'avais quinze ans, alors qu'il venait de léguer l'arène à mon grand frère, Ace, et qu'il était parti en voyage dans une région pourtant proche de la notre. Un Tyranocif protégeant son nid n'avait pas vraiment apprécié l'arrivée du Boss et l'avais attaqué. Enfin, c'est ce qu'on nous a dit, nous n'avons jamais retrouvé son corps, et les seules choses qui nous restent de lui sont les photos et son Noctali, qu'il m'avait offert peu avant son départ. Ce Noctali et moi avions toujours eu une relation spéciale, et je savais que nous aurions pu devenir imbattable. Chez nous, lorsque nous avons douze ans, nous avons le droit de partir à la conquête des Pokémons de notre région, mais moi, j'étais partie à mes quatorze ans, ne me sentant pas prête avant, et après le décès de mon père, ma mère avait refusé que je devienne un dresseur. Et je n'avais donc plus d'autre choix que de regarder mon frère exaucer mon rêve le plus cher pendant que moi, j'étais de corvée près de ma mère...
J'étais assise, appuyée contre mon lit, et je fixais l'horloge. Les derniers mots présentateur de journal me tournaient dans la tête. Commencez à pleurer vos proches. Comment voulait-il qu'on fasse cela? Comme si nous allions croire qu'il n'y avait plus d'espoir.. En réalité, je ne croyais plus qu'il y en avait, mais une part au fond de moi me disait que dans peu de temps, tout irait pour le mieux. Quelque chose tapa dans ma fenêtre, et en me retournant, je vis mon Noctali, assis sur le rebord, attendant que j'ouvre pour le faire entrer. Au moins ma mère avait accepté que je garde mes Pokémons. Je compris aux anneaux brillants de mon Pokémon qu'il faisait pleine lune, et je m'attarda un peu sur le paysage après avoir laissé entrer Noctali. Il s'était hâté jusqu'à mon lit, et s'était caché en dessous pour dormir, comme à son habitude. Je l'avais connu alors qu'il n'était qu'un Evoli, et il avait déjà l'habitude de faire ça. J'entendis ma mère crier que le dîner était prêt depuis la cuisine et, affamée, je me dépêcha de la rejoindre à table. Notre Leuphorie de 'compagnie' venait nous servir les plats, tout en mangeant sa nourriture de son côté. Ma mère et moi eurent la même conversation que tous les soirs: elle me demandait comment se portaient mes Pokémons et si je les nourrissais bien, car elle ne les voyait jamais venir manger. Je lui répondais toujours que oui, mais je ne m'étalais pas sur le sujet, j'avais trop peur de dire quelque chose qui aurait pu me nuire. Puis l'atmosphère s'emplit d'un silence lourd. Heureusement que Leuphorie était toujours là pour nous faire oublier nos malheurs. Il était toujours d'une humeur.. bah euphorique, même après la mort de son maître. Et oui, il appartenait aussi à mon père, mais il refusait de se battre, s'étant attaché à ma mère autant qu'elle s'était attachée à lui. Et pourtant, il était un des meilleurs Pokémon de mon père. Ma mère débarrassa la vaisselle et parti se coucher, et Leuphorie disparut quelques minutes après. On ne savait jamais où il allait, mais tant qu'il revenait, c'était l'essentiel. Je me mis à genoux devant la table basse de mon salon, et me saisissant d'un papier et d'un stylo qui trainaient, j'avouais tout à ma mère.
23h27. C'était l'heure. Noctali le savait, et il s'était planté dans le couloir, m'attendais. Ses anneaux brillaient plus que jamais. Je marchais à pas de loup en passant près de la porte de ma mère pour ne pas la réveiller. Dans ma chambre, j'enfilai mon sweat-shirt noir, mon jean noir déchiré et mes Rangers. J'allais sauter de ma fenêtre lorsque je me rendis compte que j'allais oublier le plus important, la nourriture et les pokéball. Je fourra les quatre Pokéball posées sur mon bureau dans la poche de mon sweat-shirt, et traversa la maison jusqu'à la cuisine pour récupérer la nourriture. Noctali m'attendais sur le pas de la porte, pendant que je me hâtais en silence, par peur de réveiller ma mère. Cette fois, je mis la nourriture dans mon sac à dos et sorti par la fenêtre, suivie de près par mon Pokémon ténèbres. Comme tous les soirs depuis le décès de mon père, j'allais dans la forêt qui surplombait ma maison pour entraîner mes Pokémons. Toute habillée de noir, la nuit, personne ne pourrait jamais savoir qui j'étais, et pourtant, plusieurs personnes m'avaient déjà vu. J'eus même droit à plusieurs surnoms, tels que Tenebris ou Mephisto. Hé oui, on m'associait aux plus sombres figures, car on ne me voyait que la nuit, et il semblait que mes Pokémons étaient assez puissants pour effrayer la population. Certains empêchaient même leurs enfants de sortir le soir, par peur qu'ils me rencontrent et que je les "extermine" à coup d'UltraLaser et autres. Je m'étais vite amusée de cette situation et était sortie de la forêt pour m'entraîner dans des terrains plus dégagés, ce qui nourrissait la légende puisque certaines fois, des gens arrivaient à me prendre en photo. Et depuis maintenant deux ans, je laissais à chaque fois une trace de mon passage. Je ne sortais jamais sans une bombe de peinture dans mon sac, et je dessinait un treize entouré d'un cercle. Pourquoi un treize? Je ne sais pas, j'ai toujours aimé ce chiffre. C'est d'ailleurs après avoir commencé à signer mes passages qu'on me donna le surnom de "thirteen". Sans majuscule, à cause d'une faute de frappe d'un magazine qui parlait de moi dans un de ces articles. Voilà mon secret. Je n'ai jamais arrêté de m'entraîner, et à mon tour, j'étais entrée dans la légende.
Sarhem était tout près de notre ville, et ce soir-là, j'étais sortie pour m'y rendre. Je ne savais pas ce que j'allais faire une fois là-bas, mais je sentais qu'il fallait que je m'y rende. Noctali illuminait notre chemin pendant que nous courions. J'accrochais en même temps mes Pokéball à ma ceinture, et d'un geste assuré, je fis entrer Noctali dans la sienne tout en libérant mon Etouraptor. D'un geste fluide, je lui sautais sur le dos et nous nous envolâmes à toute vitesse, nous élevant au milieux des arbres. Je ne savais même pas si je reviendrais, mais je ne pouvais pas me résoudre à laisser mon frère seul dans cette ville. On s'approchait peu à peu de Sarhem, qui n'était pas une si grande ville que ça. Elle était au beau milieu de la forêt, et n'avais rien de spécial à part sa prestigieuse arène spécialisée dans les Pokémons Spectre et Ténèbres. C'était un arène souterraine, et presque entièrement plongée dans le noir à toute heure de la journée ou de la nuit. Je voyais maintenant très bien la ville, et je fût tout à fait surprise de me rendre compte que les soi-disant militaires dont parlaient les nouvelles n'étaient en aucun cas présent. Alors que savait-il du fait que l'on devait pleurer nos proches? Mon corps tout entier se rempli d'un espoir qui me mis les larmes aux yeux. Je sautais au sol, rappelant Etouraptor dans sa Pokeball, et faisant sortir Noctali. Il faisait soudainement froid, alors que nous étions en plein été, et les anneaux lumineux de mon Pokémon semblait dangereusement baisser d'intensité, comme s'ils allaient s'éteindre, alors que nous étions un soir de pleine lune. Mon espoir se transforma en une terreur que je n'avais jamais éprouvé avant. C'était quoi, ça? Ce que je venais de voir passer, loin dans l'ombre, et qui déambulait d'un air de poupée de chiffon, laissant tout son corps pendre dans le vide, marchant quelques pas, puis s'écroulant dans un bruit étouffé. Ça venait vers moi. Mon cœur accélérait et mes membres me disaient de fuir, mais j'étais trop tétanisée pour bouger. Noctali s'était mis en position d'attaque, et ses anneaux semblaient avoir retrouvé leur intensité habituelle. Je fermais les yeux, et avança vers l'ombre. Que pouvait-il m'arriver au pire? Mourir? De toute façon, si je revenais entière, ma mère me tuerait pour lui avoir menti sur quelque chose d'aussi grave, donc bon. Lorsque j'ouvris les yeux, il était devant moi. C'était un vieil homme, qui semblait au bout de sa vie, épuisé. La peur se lisait dans ses yeux, et sa voix effacée semblait vouloir me prévenir de quelque chose. Je me baissa près de son visage, pour entendre ce qu'il avait à me dire.
"Le Boss... Il est de retour."
Non, il était mort. Tué par un Tyranocif. Il ne pouvait pas être vivant.. Et même si il l'avait été, tout cela ne pouvait pas être de sa faute. Je me mis à courir, suivie de près par Noctali. Je ne savais pas où j'allais, je ne reconnaissais même pas cette ville, il y faisait sombre, toutes les ampoules des lampadaires semblaient avoir grillé, les murs semblaient pouvoir s'écrouler à tout moment. Je me sentais mal à l'aise, et d'après l'attitude de Noctali, je savais qu'il en était de même pour lui. Et si je me retrouvais face à face avec mon défunt père? Enfin, défunt.. Et où étaient passés tous les autres? Mes pas s'accéléraient sans même que je m'en rende compte, et je fonçais droit sur l'arène, en courant maintenant, mon fidèle Noctali me suivant de près, jusqu'aux escaliers qui menaient à l'arène. J'eus un léger moment d'hésitation, mais voyant mon Pokémon commencer à descendre sans moi, je me rendis compte que je n'avais plus le choix, je ne pouvais plus revenir en arrière. Lançant un dernier regard vers le monde, je m'engouffra dans les ténèbres de l'arène de Sarhem. Je me souvenais de ces longs escaliers, qui donnaient sur un long couloir qui, faisant monter le stress dans le corps du challenger, semblait être interminable. Les murs étaient noirs, le sol était noir, le plafond était noir. Tout était là pour donner un effet d'étouffement et pour déboussoler les plus faibles d'entre nous. Je n'étais pas une faible. L'obscurité, c'était mon élément, je m'entrainais la nuit, les ténèbres m'avaient tout appris. Les anneaux de Noctali avaient disparu dans le fond du couloir, et j'étais maintenant seule avec mes démons. Je me hâtais, sans savoir ce que je verrais au bout du couloir, mais je voulais savoir ce qui m'attendais, ce à quoi j'aurais à faire face pour continuer la légende. Le couloir sombre semblait s'élargir. Oui, j'entrais dans l'arène. Je le devinais aux faibles lumières accrochées sur les murs qui entouraient le terrain. Au moment où j'entrais, les délimitations du terrain s'illuminèrent, et je pu voir dans la pénombre mon Noctali flotter au-dessus du terrain, puis retomber dans un lourd fracas. Je m'élançais vers lui, il semblait si faible à présent.. De loin, j'entendais des crissements s'approcher doucement de moi, et une voix s'éleva dans le silence, une voix faible et malade, mais qui me semblait familière.
"Cela fait.. tellement longtemps.. ma fille... qu'es-tu donc devenue..? Mon Noctali, qui est tombé dans le piège.. que lui as-tu fais..?"
Je le dinstinguais bien maintenant. Dans un vieux fauteuil roulant, un Homme proche d'une mort certaine, maigre et abîmé. C'était bien lui, il n'était pas mort. Peu avant sa disparition, dès rumeurs couraient comme quoi il devenait fou, que ses idées étaient brouillées pour un désir insatiable de défi et de victoire, mais surtout de reconnaissance, encore et toujours. J'entendais dire qu'il était parti pour dompter le plus puissant des Pokémons, pour qu'il soit sûr que tout le monde se souvienne de lui. En le voyant, je ne pouvais qu'être assurée qu'il s'était fait attaqué par un Tyranocif, à la vu de son air frêle, des nombreuses cicatrices qui courraient sur ses bras, dans son cou et sur son visage. Ce qui retenait surtout mon attention était le bandeau qui lui couvrait l'œil droit. Il avait dû le perdre durant son combat contre le Pokémon. Il avait une petite lumière accrochée à son fauteuil qui lui éclairait son horrible visage malade. C'était à peine si j'arrivais à poser mon regard sur lui. Tout autour de nous, l'ambiance changeait, l'air devenait humide, et une odeur de vase se dégagea des murs. Je sentais son regard vitreux qui me fixait, mais je n'osais pas le regarder. Je touchais le sol de ma main, comme pour bien m'assurer que j'étais encore sur la terre ferme. Le sol était mouillé, et je sentais maintenant cette 'eau' couler sous mes genoux et tremper mon jean et ma peau. J'avais l'impression que mon corps s'alourdissait. Je regardais Noctali qui semblait fondre entre mes bras. Je fermais les yeux, ordonnant à mon cerveau de se réveiller. Cela ne pouvait être qu'un rêve. Je sais pas combien de temps je suis restée avec les yeux fermés, bien une dizaine de secondes, mais ça parût comme une éternité. Puis je ressentais enfin l'air sec dans mon cou, je devais venir de me réveiller, peut-être en forêt. J'ouvrais doucement le yeux, posant ma main sur le sol. Sec. Sec et froid comme le béton. Je n'étais pas retournée dans la forêt, et encore moins chez moi. J'étais toujours dans l'arène, Noctali avait disparu, et j'étais seule, enfin je le croyais. Je me releva, et hurla. Je ne disais rien de particulier, je me contentais de crier, d'extérioriser ma haine. J'étais comme dans un état second. Je commençait à courir vers le couloir, qui était éclairé par une seule lumière, et qui me semblait toujours aussi loin, même en continuant d'avancer. Courrais-je donc sur place? Peut-être étais-je morte. Morte et prisonnière de cette arène qui a vu passé toute ma famille depuis des décennies. Un bruit retentit derrière moi, un bruit de lumière qu'on éclairait soudainement. Dans une arène, cela pouvait aussi s'apparenter aux lumières au sol qui servent à délimiter le terrain pour se battre. Je me retournais. Le Boss était vraiment de retour. Debout sur ses deux jambes, il me proposait un défi. Mais il ne parlait pas. Je ne m'étais même pas posé la question de comment il avait fait pour tenir debout, et où étaient passées toutes ses marques sur son corps. Je savais juste que le seul moyen de l'anéantir, c'était de la battre, de replacer son égo plus bas que terre. En réalité, si je ne me posais pas de questions, c'est que j'avais déjà tout compris. A ses côtés, deux énormes Zoroark m'observaient. Il était parti à la conquête du Pokémon le plus puissant au monde, et quel Pokémon peut être plus puissant qu'un Pokémon ayant la capacité de créer de toute pièce des atmosphères et des illusions pour déstabiliser son adversaire? J'étais maintenant à peu près sûre que le fameux Tyranocif n'en était pas un, il avait du être attaqué pour une armée de Zorark lorsqu'il avait essayé de capturer les siens. Maintenant, il recréait les ténèbres à l'aide de ses deux Pokémons. Il venait d'avoir sa victoire finale, semer la chaos et la terreur dans le monde en faisant disparaître une ville entière dans le noir. Tout n'était qu'illusion. Tout ces murs autour de moi, rien n'était réel. Et s'il avait deux Zoroark, ce n'était pas pour rien. L'un d'eux mystifiait le monde en enfermant Sarhem et sa population dans une bulle de Ténèbres, et l'autre se contentait de me mystifier, moi, en créant illusion sur illusion, comme s'il voulait que ma tête explose. Mais j'y étais préparée. Cette nuit-là, j'allais mener le combat que tous les Héros devront mener un jour. Cette nuit-là, j'allais mettre un point final à la légende.
Il envoya son premier Zorark à l'attaque. Sans même dire un mot, un simple regard avait suffit. Je savais que ce ne serait pas un combat à la loyale. Mais j'ignorais lequel des deux Pokémon contrôlait mon illusion, mais de toute façon, je devais battre les deux. J'envoyais Noctali en premier. Deux Pokémons de types ténèbres ne pourraient se faire beaucoup de mal entre eux, mais ça me permettrait au moins d'affaiblir le Zoroark. J'étais la seule à parler, comme si Le Boss et son Pokémon communiquaient par la pensée. Mais rien ne marchait, l'adversaire était trop rapide. J'épuisais Noctali pour rien. Je le fis rentrer dans sa Pokéball, et libéra mon Etouraptor. Il semblait avoir du mal à voler, peut-être à cause de l'illusion. Je lui demandais l'attaque Aeropique, mais il se fit arrêter sans difficulté par le Zorark qui le cloua au sol, renforcé par une attaque qui semblait être un Ultralaser, venant du second Zoroark. J'avais raison, cela ne se jouerais pas dans les règles. Je rappelais Etouraptor, et cette fois, j'allais aussi sortir des règles habituelles. Il me restait trois Pokémons, et c'était avec eux que j'allais me battre. Lançant mes trois Pokéball en l'air, je libérais mon fidèle Noctali, mon Alakazam, et enfin, mon plus puissant Pokémon, mon Lucario. Je l'avais eu alors qu'il n'était encore qu'un Riolu, et maintenant, il était devenu presque imbattable. Nous allions la jouer trois contre deux. J'étais maintenant sûre de gagner. J'allais les exterminer jusqu'au dernier.
Nous nous engagions dans un combat digne du mondial. Ce serait mon mondial. Je lançait en premier Noctali et Alakazam pour s'occuper d'un des deux adversaires, puis envoyait Lucario faire un close-combat sur le second. Et ça continuait comme ça. Une pluie d'attaques s'abattant tantôt sur les Zoroark, tantôt sur mes Pokémons. Ils semblaient inépuisables, alors que mes Pokémons faiblissaient de plus en plus. C'était le moment d'agir. Ma voix s'éleva dans le brouhaha, et j'ordonnai à chacun de mes Pokémon d'émettre leur attaque la plus puissante. Ce fut donc un croisement d'ultralaser et d'aurasphère qui se heurtèrent à deux ultralaser plus que puissant venant des ennemis. L'arène n'avait jamais été aussi illuminée de toute son existence. On pouvait y voir les murs et le sol, qui commençaient à s'effriter. L'illusion était en train d'être détruite. De la poussière tombait du plafond et le sol tremblait, mais les Pokémons redoublaient d'effort pour mettre fin à ce combat. Alors que même que l'Aura-Sphère de Lucario semblait faiblir, les Zoroark d'en face restaient debout, ils résistaient. Tout commençait à s'écrouler autour de nous, jusqu'au moment où une explosion interrompu les attaques. Poussés au maximum de leur puissance, ils avaient créé une véritable bombe. Je me sentie comme aspirée, ma tête se mit à tourner, j'avais envie de vomir. Toutes les illusions étaient en train de se détruire. Une dernière fois, je revenais dans l'illusion humide, où mon père croulant était faiblement assis sur son fauteuil grinçant. L'explosion détruit aussi cette illusion, et me ramenait dans la réalité, je criais pour qu'on me laisse, je pleurais parce que je ne trouvais plus mon air. Je me sentais brisée, faible, en morceaux. Ma tête heurta ce que je croyais être le sol. Cela mis fin à mes lamentations, et pourtant je souffrais, mais je n'étais simplement plus capable de bouger. L'arène s'était écroulée sur moi, et sur les Pokémons. Mais, à travers les décombres qui bloquaient mon corps, je voyais de la lumière. Un fin et intense halo de lumière qui accompagna mon dernier souffle. J'avais gagné.
La jeune fille s’adresse a la foule avec une voix rieuse et enfantine. Elle présente cette année un concours a Sinnoh, elle espère convaincre toute la foule grâce a son énergie.
« Il est 9h16, où que vous soyez chers téléspectateurs, cher public, vous allez avoir l’honneur d’assister a une de fabuleuses démonstrations de beauté, de force et des nombreux autres talents des fantastiques pokémons inscrits aujourd’hui ! Que le meilleur gagne ! »
Elle fait un clin d’œil a la caméra et le bouquet d’ouverture éclate dans une nuée de bulles et de carapuces tournoyants. La foule clame et applaudit a tout rompre. Ensuite les démonstrations s’enchainent, et arrive l’heure du repas. Nous retrouvons la pétillante Naka’ à la cafétéria, en compagnie de son mentali adoré,une jeune femelle du nom d’Elea. Elle s’étire et inspire l’air avant de reprendre sa fourchette en main, elle s’exprime en faisant de larges gestes.
« Pfiouu, je suis déjà crevée moi… Touts les concurrents étaient supers doués, et dire qu’il n’y aura qu’un seul vainqueur ! D’ailleurs il faudra peut-être que j’inscrive Elea un jour, non ? »
A sa table se trouve sa meilleur amie, Ivy.
« Bien sur ! Vous décrocheriez la seconde place a coup sur ! »
Les deux filles rient et termine tranquillement leur repas. La journée s’annonce longue et épuisante, autant la prendre avec humour !
La remise des prix a lieu, en début d’après-midi, les jeunes amies décident d’aller se promener dans le petit bois, pour entraîner leurs pokémons.
« C’est fascinant comme ton mentali progresse vite ! J’ai capturé un pikachu récemment et je désespère, il n’apprend rien du tout… »
« Il faut de la patience Vyvy ! » Lui répondit la dresseuse.
Elles causaient quand tout d’un coup un pharamp sauvage surgit des fourrés. Il avait l’air tout perdu. Bizarrement Ivy avait disparu, Nakanaide se retrouvant seule avec Elea et le pharamp. La demoiselle n’osa pas attaquer le pauvre animal, elle s’accroupit et tendis prudemment sa main dans laquelle se nichaient quelques baies. Le pokémon s’avança et croqua dedans, Naka’ fut parcouru de frissons, elle eut un véritable coup de foudre envers lui.
« Tu t’appelleras Golden… »
Golden était déjà si affaibli qu’elle n’eut même pas besoin de le blesser, il rentra instantanément dans sa pokéball.
Ivy réapparu, les fillettes passèrent au centre pokémon pour soigner leurs petits protégés, puis rentrèrent chez elles, dîner puis dormir pour être en forme le lendemain…
Les autres remportent 200$ encore bravo à tout le monde ! Comme prix de consolation qui n'était pas inclu dans les prix, Luciole reçoit 50$ (donc 250$)
Spoiler:
Une nouvelle Aventure ?
Mes Pokémons :
: Ponyta ( lvl . 35 ) .
: Evoli ( lvl . 20 ) qui après va se transformer en Mentali : ( lvl . 25 ) .
: Germignon ( lvl . 14 ) .
: Fragilady ( lvl . 50 ) .
: Heledelle ( lvl . 30 ) .
: Leopardus ( lvl . 32 ) .
Bonjour , je m'appelle Honey et il y a peu de temps j'ai eu 16 ans . Aujourd'hui j'ai pris la décision de partir à l'Aventure . Je vis ma valise et je pris dans ma chambre quelques pokéballs . Je descendit dire au revoir à ma famille . Je sortit de la maison et je me dirigea vers le pré de ma Ponyta . Je siffle et elle émit en courant vers moi . J'ouvris la porte et pris une longe . Je lui mis et la sortit . Je l'attacha à la barrière et l'arnacha . Je posa derrière la selle deux petits sacs . Un remplit de quelques provisions : quelques sandwichs , quelques fruits pour ma ponette et quelques biscuits pour mes autres pokémons . Et l'autre sacs est remplit de mes pokéballs vides . Mes autres pokémons se trouvent dans mon sac à dos . Je sortit des pokéballs . Mon Heledelle qui est très complice avec Ponyta . Et mon Leopardus . Je partit donc pour la grande Aventure . Je monta sur ma Ponyta et on partit au petit trot . Je fis signe à mon Leopardus de sauter sur mes genoux . Car sa fessait environ une heure qu'on marchait . Il se mit sur mes genoux et je tira légèrement sur les rênes pour dire à Pony' de passer au pas . Heledelle se mit sur sa croupe . Après quelques minutes à regarder le paysage , je décida de m'arrêta au pied d'un grand Arbre . Nous avons rencontrer personne depuis le début . Je commençait à m'inquiéter . Je descendit et posa Leopardus au sol . Ponyta broutta l'herbe fraiche qui se trouvait à nos pieds . Je posa mon sac à dos au sol et libéra Evoli , Germignon et Fragilady . Je sortit les pommes , les biscuits et un sandwichs des sacs . Je coupa la pomme en quartier . Je m'avança vers Ponyta et lui donna , elle l'avait amplement mérité . Je donna quatre biscuits à chacun des pokémons . Je fini par manger mon sandwichs et je m'allongea un peu pour souffler . Je rentra les pokémons dans leurs pokéballs même léopardus . Et garda que ponyta et héledelle . Je fis signe à héledelle de voir si il y avait une ville pas loin . Car en effet la nuit arrivait à grand pas . Je remonta donc sur Ponyta et attendit que Héledelle redescende . Elle finit par me dire qu'il y avait une ville nous loin de là et que je devait la suivre . Je donna un léger coup de talon à Pony' et je suivit héle' . On arriva dans la charmante ville du nom de Rosalia . Cette ville est réputée pour ces belles fleurs . Je rentre donc dans une boutique d'alimentation et pris quelques biscuits et quelques sandwichs . Je lui donna 20 $ . Et je partit . Je trouva non loin de la boutique un auberge et il m'ouvrit une chambre avec joie . Je monta me coucher en rentrant Ponyta et héledelle dans leurs pokéballs . Je me doucha et posa mes affaires dans l'armoire . Et me glissa dans le lit et je partit dans les bras de Morphée . A SUIVRE !
PRIX BONUS: le hasard a choisit ... Kéline ! Félicitations à elle, et merci d'avoir participé au concours pokémon !
Dernière édition par Hawkins le Mer 26 Sep - 16:41, édité 1 fois